Hackathon

Atelier en compagnie d’apprenants de l’organisme Passe numérique spécialisé dans le codage.

Lors de cet atelier, nous avons eu deux jours pour créer un objet avec pour contrainte : un persona (profil) et un lieu. C’était deux jours intenses où nous avons commencé par aller interroger des passants au lieu qui avait été désigné à chacun de nos groupes. Mon groupe était sur Monoprix avec pour persona, une personne âgée. Nous sommes donc allés les interroger.

Grâce aux informations récoltées, nous avons pu échangé nos idées. Le point que nous avons relevé était les poignées des réfrigérateurs pas assez larges et surtout le faite que les portes étaient lourdes.

Nous avons tout abord penser à un crochet qui permettrait d’attraper les poignées avec un système qui, grâce à un bouton, ramènerait le crochet vers le manche de l’appareil. Beaucoup d’idées similaires à celle-ci avaient été relevées.

Après cela, nous avons maquetté plusieurs types d’accroches : crochet, aimants… Ensuite l’idée de l’aide humaine nous est venue à l’esprit : utiliser une ampoule qui clignote pour demander de l’aide. L’idée, si elle devait être mise en place dans le magasin, ressemblerait à cela : devant l’entrée du magasin, il y aurait un bac rempli d’appareils lumineux à disposition réservés aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap. Ceux qui prendront cet objet pourront, lorsqu’ils rencontrent un problème, allumer la lampe et les personnes aux alentours pourront venir à leur aide. Il y aurait également des pancartes dans le magasin pour prévenir du système et inciter les gens à ne pas hésiter à venir en aide aux personnes rencontrant des difficultés.

Phase de construction :

Matériaux :

• ampoule
• tissues (purement esthétique pour cacher le PVC)
• mousse (pour renforcer l’intérieur et permettre à l’ampoule de tenir)
• PVC

La lampe n’était pas fonctionnelle car nous n’avons eu qu’une après-midi pour réaliser l’objet en question.

Conclusion

Grâce à cet atelier, j’ai pu prendre conscience de l’importance du temps et de savoir mieux le gérer ainsi que les démarches à faire avant la fabrication qui, pour moi, n’était pas nouveau vu que j’ai fais de l’art appliquée avant la formation.

Un autre point, c’est également de savoir que le prototype ne ressemble pas toujours à l’idée de base et que c’est rarement le cas. Il faut savoir modifier en cours de route car nous avons tendance à toujours commencer avec des idées compliquées.